Les peignoirs sont le symbole des grands acteurs assis sur leur fauteuil attendant leur tour pour jouer. De nombreuses scènes de films et séries sont tournées en peignoir comme dans les James Bond. Et certaines sont devenues mythiques pour ces fameux peignoirs. Les peignoirs inspirés de nos séries/films préférés révèlent plusieurs symboles, que nous vous proposons de découvrir dès maintenant.
Les symboles du peignoirs dans les films/séries
Le peignoir symbole de l’homme “cool”
Être en peignoir durant plusieurs films. Certains personnages de fiction l’ont été à l’instar de The Dude dans The Big Lebowski. Ce personnage, devenu “légende américaine” est en permanence en peignoir, en tong, avec un verre de White Russian à la main. Il a bel et bien propulsé le port du peignoir au rang de détente absolue.
Nous pouvons aussi le voir dans pulp Fiction où le réalisateur Quentin Tarantino effectue une leçon de moral en peignoir à John Travolta et Samuel L.Jackson.
Le peignoir et les sportifs
Les boxeurs ont été les premiers à utiliser le peignoir. En entrant et en sortant des rings. Souvenons-nous du peignoir noir et jaune de Sylvester Stallone dans la série Rocky ou encore celui porter par Brad Pitt dans Fight Club. Plus d’un homme ou d’un adolescent a voulu ressembler à ces héros du ring. Les répliques de ces peignoirs mythiques se sont vendues en nombre en particulier aux Etats-Unis.
Le peignoir est la luxure
“Henry Spencer : C’est bon, enlèves ce peignoir ! Le porter est un privilège et toi mon ami, tu n’y as plus droit ! (…)
Nigel St. Nigel : Non. Je me sens comme un ange emmailloté dans un cocon de barbe-à-papa” Réplique du premier épisode de Psych : Enquêteur malgré lui.
Cette scène montre que le peignoir est passé du symbole de l’homme cool à celui de l’homme riche, aimant la luxure. Nous pouvons le voir dans de nombreux films cultes comme dans Gatsby le Magnifique, ou Leonardo Di Caprio porte un peignoir en soi. Dans Le Parrain, le peignoir est rouge. Jean-Paul Belmondo en porte un dans Stavisky. Et comment ne pas citer Audrey Hepburn et son peignoir couleur pêche dans Diamants sur canapé.
Le peignoir est un vêtement qui montre que nous avons réussi et que nous ne sommes plus dans l’obligation de travailler. Vous pouvez le voir dans Pretty Woman quand Julia Roberts se détend dans le peignoir offert par l’hôtel après son bain moussant.
Le peignoir reflet du sex appeal des acteurs
Les acteurs, en particulier les agents secrets ou les séducteurs n’ont pas résisté à l’idée de porter un peignoir pour apporter ce côté séducteur à leurs personnages de fiction. Nous pouvons le voir dans les James bond, dans OSS 117 : Rio ne répond plus en passant par Comme la lune avec Jean Rochefort et son peignoir violet.
Aujourd’hui, les hommes et les femmes peuvent porter un peignoir pour se sentir comme leurs acteurs ou son actrices préférées. Ne vous est-il jamais arrivé de vous sentir comme Audrey Hepburn pour une soirée cocooning à la sortie d’une douche à pavaner chez vous en peignoir comme si vous étiez tout puissant. Le peignoir s’inspire de nos séries/films préférés n’est pas très exact, ce sont plutôt les peignoirs qui ont inspirés les films et les séries. Une scène ne serait pas la même sans les accessoires et le peignoir en est un indéniable.
Le peignoir représente t-il la nature humaine ?
Le peignoir représente la luxure, la richesse, le sex appeal, la détente et le sport dans les films/séries. Ce sont de nombreux aspects de la vie humaine. Dans les “Évadés de la planète des singes”, le docteur Cornelius finit par porter un peignoir pour montrer son appartenance au monde des hommes.
Les séries/films ont fait du peignoir un vêtement inconditionnel à avoir dans sa garde-robe. Que vous soyez une femme ou un homme , il vous faut avoir un peignoir dans votre dressing.
Le peignoir est cependant moins présent dans les dessins animés ou les Marvels. Mais il existe des peignoirs super-héros pour vos enfants . Grâce à ceux-ci toute votre famille peut incarner son héros ou son personnage préféré en étant dans une tenue confortable à la maison.
